Original paper
Fine-Textured Erosional Relief in New Zealand
Cotton, C. A.

Zeitschrift für Geomorphologie Volume 2 (1958), p. 187 - 210
36 references
published: Jan 1, 1958
ArtNo. ESP022000270013, Price: 29.00 €
Kurzfassung
Ein feingegliedertes Erosions-Relief ist charakteristisch für die Landschaft in Neu-Seeland; es ist auch dort noch wohlentwickelt, wo periglaziale Solifluktion es in einem gewissen Umfang modifiziert hat. Allgemein ist es zu finden in vielen Gebieten der niederen und mittleren Breiten, insbesondere in feuchten Waldgebieten, wie z. B. auf den tropischen Fidschi-Inseln. Das Fehlen dieses Reliefs in vielen Teilen Westeuropas mag wohl zum Teil der Intensität periglazialer Vorgänge in den quartären Kaltzeiten zuzuschreiben sein, muß aber mindestens teilweise verursacht sein durch die (vorläufig unerklärte) Schwäche der „normalen“ Abtragung (durch fließendes Wasser) in den wärmeren Interglazialzeiten. Die Abdachungen, auf denen sich die feingegliederte Abtragungslandschaft entwickelt bzw. entwickelt hat, sind vom Ursprung her unterschiedlich. In Gebieten, die, wie West-Europa, von kräftigen rezenten Deformationen der Erdkruste verschont geblieben sind, sind nahezu alle größeren Hänge Talhänge der unlängst eingeschnittenen oder verjüngten Täler, welche Kraft auch immer ursprünglich die Zerschneidung bewirkt haben mag. Zusätzlich zu diesen Abdachungen auf den Talhängen gibt es in Neu-Seeland infolge der jungen (mittelquartären und jüngeren) Krustenbewegungen (schwache Orogenese) tektonisch bedingte Abdachungen von mäßiger bis großer Neigung; in der Tat sind solche tektonisch bedingten Abdachungen häufiger und ausgedehnter, als Steilstufen, die Verwerfungen kennzeichnen. Beobachtet worden sind sie z. B. auf einer gestörten spätquartären Küstenebene im Nord-West-Teil der Provinz Wellington, ebenso in den angrenzenden Gebirgen und Bergländern aus gefalteten und verfestigten (aber zugleich zerrütteten und in Oberflächennähe verwitterten) Grauwacken; die Rumpffläche, die sie überzieht, ist in jüngster Zeit durch Krustenbewegungen zerbrochen und verbogen worden. Solche ursprünglichen tektonisch bedingten Abdachungen und alle anderen Abdachungen gleicher Steilheit unterliegen normalerweise einer schnellen Zerschneidung durch ein dichtes Gewässernetz mit konsequent-insequentem Grundriß. Bei Wellington (Neu-Seeland) zeigt sich die Jugend und die Geschwindigkeit dieser Zerschneidung in der Ausdehnung, in der die Kleinformen eines früheren feingegliederten Reliefs unter periglazialem Abtragungs-Regime fossilisiert wurden, und an der Wiederzerschneidung (mit gelegentlicher Reliefumkehrung), die seither eingetreten ist. Teilweise legen die neuen Einschnitte den Querschnitt fossiler Täler frei.
Résumé
Un relief d’érosion finement articulé caractérise le paysage en Nouvelle Zélande; il est encore bien développé même là où la solifluxtion périglaciaire l’a modifié sur une grande surface. On le trouve, en général, dans de nombreuses régions par latitudes basses et moyennes, en particulier dans les territoires forestiers humides, comme par exemple dans les Iles Fidji, tropicales. L’absence de ce relief dans de nombreuses parties de l’Europe Occidentale peut bien être attribuée en partie à l’intensité des processus périglaciaires pendant les périodes froides du Quaternaire, mais doit être due aussi en partie à la faiblessee (provisoirement inexpliquée) de l’érosion «normale» (par les eaux courantes) pendant les interglaciaires plus chauds. Les pentes, sur lesquelles se développe ou plutôt s’est développé ce paysage d’érosion finement articulé, sont d’origine variée. Dans les régions qui, comme l’Europe occidentale, n’ont pas été atteintes par des déformations tectoniques récentes puissantes, presque tous les versants assez grands sont des versants de vallées récemment incisées ou rajeunies, l’incision pouvant être d’origine tectonique ou eustatique. En plus de ces pentes des versants des vallées, il y a en Nouvelle Zélande des pentes d’une inclinaison qui peut être de valeur moyenne à grande, qui sont dues à des déformations tectoniques de l’écorce (faible orogenèse) récentes (milieu du Quaternaire et plus récentes). En fait, ces pentes d’origine tectonique sont plus fréquentes et plus étendues que les escarpements qui caractérisent des failles. Elles ont été observées, par exemple, dans une plaine côtière, formée vers la fin du Quaternaire, déformée, dans le Nord Ouest de la province de Wellington, de même que dans les montagnes limitrophes et basses montagnes formées de grau-wackes plissées et consolidées (mais en même temps broyées et altérées au voisinage de la surface); la surface d’aplanissement qui les surmonte fut disloquée et déformée par des mouvements du sol à une époque plus récente. Ces pentes d’origine tectonique et toutes les autres pentes de même raideur, sont «normalement» détruites par une rapide dissection due à un réseau hydrographique dense à configuration conséquente et inséquente. Près de Wellington (Nouvelle Zélande), la jeunesse et la rapidité de cette dissection apparaissent par l’extension de la fossilisation, qui sous un régime d’érosion périglaciaire affecta les formes mineures d’un relief autrefois finement articulé, et par la ré-incision (avec inversion du relief à l’occasion) qui s’est produite depuis. Les nouvelles incisions dégagent par endroits la coupe transversale de vallées fossiles.
Keywords
running water • Quaternary • erosion • Erosions-Relief • Orogenese